[RPG++] Exploration ! [PV]

Kaola venait à peine d'arriver au campus d'Yggdrasil ... Elle ne connaissait personne et ne s'en portait pas plus mal . Ayant seulement comme envie de découvrir un peu son nouveau lieu de vie elle avait suivit quelques élèves dans le village voisin du campus. Kaola avait arrêté de les suivre dans son entrée dans le petit patelin. Delaissant la rue commercante pour un petit passage plus sombre elle avait été guidée pas ses pas jusqu'une vieille batisse en très mauvaise état. Kaola ne savait pas vraiment ce qu'elle devait faire entrer ou pas... Une petite voix dans sa tête lui conseilla la première solution sans un regard dérière elle , la jeune élève franchit l'entrée de la batisse . Regardant à droite et à gauche. Elle s'arrêta dans ce qui devait être le hall . La maison comprennait un étages ainsi qu'un petit grenier .

*-Par où commencer ?
- Je sais pas Kao .. tu crois qu'on devrait pas essayer de trouver la bibli ?
- Pour une fois petit rat de bibliothèque tu as raison on pourrait trouver des truc interressant !
-J'espere qu'on trouvera rien d'effrayant !
-Peureuse .. fin ne t'en fais pas je suis là ... *

La jeune fille se dirigea vers le plus proche escalier regardant bien là où elle mettait ses pieds le sol semblant très instable .

*Apparement il y aussi un sous sols cette maison m'a l'air très excitante !
-Tu as la chance que ce soit toi qui est le corps si ca avait été moi on aurait été boire un thé !
-Mauviette ! *

Cela faisait maintenant quelques années que Edwin était à Yggdrasil, il avait ses habitudes, les cours à Ygg, le bar à Midgardr et toujours une petite balade le soir au village pour se détendre. Le jeune himme harpentais de long en large les petites ruelles sombres de Midgardr, un village décidement bien étrange. D'ailleur l'irandais en venait à la conclusion suivante :

*Plus on vit ici, plus ce village devient bizarre.*

Edwin avançait donc seul dans le mystérieu villages ses pas résonnaient sur les pavés et entre les épais murs de pierre des maisons. Le barman ne savait point où il allait mais il ressentait un sentiment étrange en lui, un peu comme si il était guidé, comme si on lui ordonné de suivre ce chemin qu'il n'avait jamais prit avant et que bizarement il croyait connaitre. Aprés une bonnes dixaines de minutes de marche, Edwin arriva en face d'un veille batisse. Elle était immence et apparament totalement abandonné. Cette dernière était bordée de grille immense, certaines parcelles de celle ci avaient subit la loi du temps, ce qui permit à l'Irlandais de rentrer dans la proprièté.

Dès que ce dernier eut franchit les grilles il posa les pieds sur un terrain fait d'herbes sèches comme de la paille et de mauvaises herbes, les anciens parterres de fleur avait laissé place à de petits monticules de terre avec des plantes totalement déscèchés, des arbres morts étaient disséminés un peu partout sur l'immence terrain bordant la maison. Le jeune homme se dirigea ensuite vers le "chemin", du moins ce qu'il en restait, qui mené tout droit à la maison. Le chemin était en pente, en effet, la batisse se trouvée à une centaine de mettre de là, en haut d'une petite colline.

Quelques minutes plus tard, aprés avoir évité tout les pièges que le temps avait laissé sur le chemin tel que des ronces ou encore des débrit en tout genre, Edwin arriva en face de le petite escalier qui menait à la porte. La maison était immence, elle tenait sur deux étages, même peut être trois car le toit était d'un hauteur impressionnante. Quelques tuiles s'étaient apparament envollées et le toit semblait être en piteuse état mais la maison avait l'air d'être solide. Les murs, formés de gros pierres d'un gris trés froid, légerment bleuté, semblaient encore tenir debout et encore vouloir le rester un bon nombres d'années, ces derniers étaient recouvert de lier et bien d'autres vieux branchaches. D'immences fenêtres étaient disposées symétriquement de chaque côté de la double porte, il y en avait deux de chaque côté au première étage ou rez de chaussé, et cinq au second, ou première étage, chacune au dessus des autres et la dernière au dessus de la porte. Les volets, quand ils était encore là, étaient en piteuse état, ils étaient en bois qui avait lui aussi subit les lois du temps, il avait moisi par endroit. On pouvait voir que la couleur de ces dernières était d'un vert foncé, du moins c'est ce qu'on pouvait deviné des rares éclats de peintures qu'il restait, certains carreaux étaient brissés. Vert foncé, c'était également la couleur de l'immence double porte devant laquelle se tenait Edwin, cette dernière était anormalement haute, comme celà est coutume de faire sur les grosses maisons. Elle était surmonté d'un cadre allant des deux extrémités en formant un demi-cercle. Au centre de celui ci on pouvait voir une sorte de vitrail dans un cercle, ce dernier formé une rosasse avec des carreaux de couleurs différentes et de ton assez froid comme l'ensemble de cette proprièté d'ailleur. Sur une des portes on pouvait apercevoir en lettres dorées ce qui semblait être le nom de la famille qui habitée ici: "Estrada."

Aprés avoir regardé la batisse pendant un long moment, Edwin s'appercu qu'une des deux portes était légerement entre ouverte. Il ne fallut pas trentes secondes pour que l'Irlandais pénètra dans la maison, il poussa doucement la porte jetta un coup d'oeil avant d'entrer. Le jeune homme n'était pas éffrayé, au contraire, il était même intigré, il scruta chaque recoin des pièces qu'il franchissait une à une, ces derniers étaient séparés par de grande ouverture en forme d'arche. Aprés avoir fait deux pièces, au fond de la dernière, il remarqua qu'une porte était ouverte, elle était blanche et sa poignet en or, il s'en approcha tout doucement. Celle c- était deja ouverte d'un quart, Edwin saisit donc la poignet et ouvrit la porte, ce qui laissa place à un escalier descendant droit vers le sous sol. Le maitrayien continua donc son chemin et descendit doucement les vieux escaliers de bois qui semblaient bien instable. Ses pas grinçaient, Edwin n'était pas confiant mais ne se laissa pas découragé. Il franchit quelques marches avec succé mais la sixième céda sous son poids, ce qui fit un bruit énorme qui résonna dans la batisse. Par chance Edwin parvint à vite remonter sur la précèdente. *Il était moins une ce coup-ci.* tel était la pensée du jeune homme avant de poursuivre son chemin en enjambant la marche brissée. Edwin descendit donc tout les autres marches sans autre accident et arriva dans un endroit sombre seulement éclairé par la lumière qui provenait du haut de l'escalier, l'Irlandais scruta la pièce quand soudain il sursauta et tomba les fesses à terre, il venait d'être nez à nez avait une personne qui trainé là, il n'avait pas bien vu la personne pendant sa chute mais ne l'avait pas quitté des yeux. Une fois à terre, il s'appercu que c'était une jeune fille, probablement une élève de Yggdrasil.

"Tu m'as fait peur... Qui tu es? Qu'es-ce que tu fous ici ma grande?" dit Edwin tout en reprenant sa respiration et en essayant de faire redescendre son rhytme cardiaque en prenant de grandes inspirations.

"Tu m'as fait peur... Qui tu es? Qu'es-ce que tu fous ici ma grande?" avait dit Edwin, le cul à terre tout en reprenant sa respiration et en essayant de faire redescendre son rhytme cardiaque en prenant de grandes inspirations, à la jeune fille devant elle.

Cette dernière fut tout d'abord surprise de voir le jeune homme mais elle ne donnait pas l'impression d'avoir était effrayer, pas le moins du monde * Etrange la gamine* se dit l'irlandais. La jeune fille prit la parole et d'une voix douce dit:

"C'est un effet d'optique je suis pas très grande mais de ta place j'aurais aussi cette impression ! Je m'appel Kaola toi aussi tu m'as fait peur ... Je suis d'Yggdrasil de Setenta plus particulièrement . En première année ! " tout en tendant la main au Maitrayien. Elle sourit ensuite gentillement avant de reprendre la parole de cette même voix:

"J'explore la maison , ca te dit de le faire avec moi ! On pourra peut être trouver des truc sympat ! "

Edwin la regarda bien avant de tendre sa main pour que Kaola l'aide à se relevé *Cet baraque est étrange et la p'tite n'a pas l'air franchement mieu, fin bref, explorons tout ca.*

"Moi... C'est Edwin, quatrième année, Maitraya et patron de l'Irish pub à quelques rues d'ici. Kaola tu dis, d'accord allons explorer c'te barraque moisie c pourrait être marrant." dit-il en se relevant à l'aide de la jeune fille.

Edwin enfin debout s'époussièra grossièrement et se tourna vers la jeune fille:

"Tu peux me filer le morceau de bois la bas s'il te plait, je pourrais en faire une torche." d'une voix calme, le jeune avait reprit son souffle. La jeune fille s'exécuta et lui apporta le vieux barreau de chaise qui trainé dans les parrages.

Edwin prit le bâton que lui tendit la jeune Setenta, il sortit ensuite un couteau de sa poche et y grava un symbole: deux barres diagonales, de haut en bas et de gauche à droite, et parallèles, puis un trait horizontal reliant ces deux dernière. Il rangea soigneusement son couteau dans la poche tourna le dos à la jeune fille. Une fois que celle ci ne pouvait voir ce que Edwin fabriquer, le jeune irlandais sortit un collier de sa poche, ce dernier était fait d'un étrange pierre ovale et d'une lanière de cuire, il la posa contre le symbole qu'il avait graver sur le morceau de bois puis se concentra: *J'appel le huit de Hagall, au sainte puissance des dieux je fait appel à toi pour que tu m'apporte la lumière de Sowilo.*. C'est alors que l'extrémité du barreau de chaise s'enflamma et éclaira la sombre pièce de mille feux. Puis Edwin se retourna ensuite vers la jeune fille:

"Que la lumière soit!" dit-il en souriant à la jeune fille.

Les yeux cherchant un peu partout dans la pièces des objets ou encore des lieux dissimulés Kaola ne pretta attention qu'au jeune homme qui l'accompagnait que quand il lui adressa la parole.

"Moi... C'est Edwin, quatrième année, Maitraya et patron de l'Irish pub à quelques rues d'ici. Kaola tu dis, d'accord allons explorer c'te barraque moisie c pourrait être marrant."

Sans vraiment réflechir la Kaola répondit à Edwin de la même manière qu'elle aurait répondu à n'importe quelle impudent qui lui aurait parlé aussi familièrement.

"Oui oui tu m'en vois ravi .... Tu sais par où aller ? Car là tu sert pas à grand chose. " Marmona t'elle sur la fin , elle n'écouta d'ailleurs pas si le jeune homme répondait trop occupé par son observation.

N'accordrant pas un regard de plus au jeune homme elle se mit à marcher un peu dans la pièce quand l'impudent se remit à lui parler.. Il osait lui demander un bout de bois... Lui demander à ELLE un travail. Pour qui il se prennait. Kaola bouillait inteireurement

*Encore heureux que j'ai besoin de toi abruti !!!!! *

La jeune fille se baissa ramassa une vieille planche qui ressemblait d'ailleurs plus à un baton mais on peu se demander ce que ferais un baton dans cette vieille bicoque. Lui tendant avec un sourir faux elle ne prêta pas attention non plus à la tentative du jeune homme de mettre feu au bois par un quelquonque procédé. Elle préféra se digiriger vers un vieux bureau dont on devinait l'ancièneté au motif gravé sur les tiroirs.

"Du celtes... " Murmura t'elle un peu plus fort plus pour elle même que pour le jeune homme.

"Que la lumière soit!"

" Je hais la religion catholique , elle a totalement sali le mot de religion et surtout le mot dieux. Seules les antiques religions peuvent prétendre pouvoir porter ce nom. Le catholicisme n'est qu'une vaste farce écrite pour detourner les gens de vrai chose comme la nature... Bref de toute facon ca ne t'interresse pas . Par contre la commode t'interressera plus ! "

Sortant d'un petit sac en bandoulière une magnifique lame dont on voyait l'ancièneté et le beauté. Elle glissa sous le bureau s'accribant au bors pour ne pas à tombé brutalement. Kaola fit ensuite jouer la lame dans sur une partie du bureau qu'Edwin ne pouvait pas discerner. La jeune fille qui n'entendait plus rien commenca à parler d'une voix forte .

"Ce n'est pas comme dans les films les vieux bureau ... le tiroir secret ne s'ouvre pas en frappant dessus. Mes parents en avait un comme ca . Il fallait defait la trape du dessous pour pouvoir poussez le tiroir. Tu es prêt je crois que je touche au but ! "

Une fois ces mots prononcé elle accentua la force sur la lame et on entendit un clic sourd et une plance de bois tomber.

"AIE !!! Règle numéro trois toujours s'écarter de tiroir secret... bref "

Oubliant la douleur elle passa la main dans l'ouverture et poussa le tiroir... du moins ce qu'elle pensait être un tiroir. Elle ne savait pas du tout où il allait s'ouvrir ni même si il allait apparaitre quelque chose.

"Tu voix un truc? "

Cette jeune était bien étrange au yeux d'Edwin. Premièrement, il est relativement bizzare de voir une si mignonne et petit jeune fille se balader dans ce lieu miteux. Deuxièmement son comportements n'était pas des plus bannales, elle semblait se parler à elle même et à voix haute. Et enfin quand Edwin se présenta et posa quelques questions à cette apparament douce et innocente adolescente, il faillit se faire agresser, l'expression "Qui s'y frotte s'y pic." prend tout son sens quand on la rencontre. Finalement, la jeune fille retourna dans l'indifférence, mais on pouvait aisément supposé que celà n'était que par pur interet.

*Mystérieuse elle veut être, soit, faisons ainsi...* se dit Edwin avant de tenter de faire un peu de lumière.Edwin prit le bâton que lui tendit la jeune Setenta, il sortit ensuite un couteau de sa poche et y grava un symbole: deux barres diagonales, de haut en bas et de gauche à droite, et parallèles, puis un trait horizontal reliant ces deux dernière. Il rangea soigneusement son couteau dans la poche tourna le dos à la jeune fille qui continuait de farfouiller à droite et à gauche. Une fois que celle ci ne pouvait voir ce que Edwin fabriquer, le jeune irlandais sortit un collier de sa poche, ce dernier était fait d'un étrange pierre ovale et d'une lanière de cuire, il la posa contre le symbole qu'il avait graver sur le morceau de bois puis se concentra: *J'appel le huit de Hagall, au sainte puissance des dieux je fait appel à toi pour que tu m'apporte la lumière de Sowilo.*. C'est alors que l'extrémité du barreau de chaise s'enflamma et éclaira la sombre pièce de mille feux.

Puis Edwin se retourna ensuite vers la jeune fille et avanca vers elle pour voir ce qu'elle fabriquer:
"Que la lumière soit!" lui dit-il en souriant à la jeune fille.

Toujours dans l'indifférence la plus totale la jeune Setenta continuait de farfouiller, elle était arrivée à un vieu bureau sur lequelle apparaissait des inscriptions que l'on pouvez croire celtes, mais Edwin savait trés bien que c'était un dérivé, un langage nordique assez spécial uniquement pratiquer sur ces terres.

" Je hais la religion catholique , elle a totalement sali le mot de religion et surtout le mot dieux. Seules les antiques religions peuvent prétendre pouvoir porter ce nom. Le catholicisme n'est qu'une vaste farce écrite pour detourner les gens de vrai chose comme la nature... Bref de toute facon ca ne t'interresse pas . Par contre la commode t'interressera plus ! "dit la jeune fille à voix haute tandis qu'Edwin tenter de traduire ces inscriptions.

La jeune fille sortit en suite quelque chose de sn sac en bandouillère et traficota quelque chose pour ouvrir le bureau et continua de parler e plus en plus fort:

"Ce n'est pas comme dans les films les vieux bureau ... le tiroir secret ne s'ouvre pas en frappant dessus. Mes parents en avait un comme ca . Il fallait defait la trape du dessous pour pouvoir poussez le tiroir. Tu es prêt je crois que je touche au but ! "

Edwin venait de déchiffrer ces inscriptions * Si le plancher sur la tête tu ne veux pas, n'ouvres pas la porte des secrets d'Estrada.*

"Je serai toi je n'ouvrirai pas ca... " dit-il à la jeune flle avant de se reculer un peu.

"C'est marqué: si..." commenca t-il mais trop tard...

"AIE !!! Règle numéro trois toujours s'écarter de tiroir secret... bref "

Une planche de bois venait de lui tomber sur la tête, mais apparament elle se fichait d'avoir mal ou non, elle voulait percer un secret, lequel? Elle passa la main dans l'ouverture du tiroir et le poussa le tiroir...

"Tu voix un truc? "demanda t-elle à haute voix, es-ce que cet question était pour Edwin? Le comportement de la jeune fille était si étrange que personne ne pourrai être cerrtain de ce qu'elle veut. Néanmoins l'irlandais s'approcha de nouveau et tente d'appercevoir quelque chose à travers le leger espace qu'avait créer la Setenta et en tentant d'éclairait ce qu'il put avec la torche, en évitant soignement de cramer quelques cheveux de l'adolescente.

"Je sais pas trop, on dirait que c'est hyper profond et c'est trés sombre malgrés la lumière." dit-il et s'appercu soudainement qu'en approchant la torche, du vent soufflé dessus lorsqu'il l'approchait de l'espace.

"Et il y a de l'air qui en sort... C'est louche tu es sur que tu veux continuer à examiner ce truc?" demanda t-il à la jeune fille.

Malgrés la mise en garde d'Edwin, la jeune fille décida apparemment de continuer l'aventure, elle tenta quelque chose avec ses mains quelques minutes en en contorsionnant ses membres supérieurs jusqu'à enfin trouvait quelque chose d'interessant qu'elle rapporta aussi tôt:

"Je viens d'abaisser une sorte de poignée ... je sais pas ce que ca va faire mais j'espère ne avoir fait comme Don Quichotte et lutter contre une poignée dans le vent... En parlant de vent on dirais qu'il vient plutôt d'en dess..."dit-elle au jeune homme avant de replonger dans un silence de carpe.

C'est alors qu'un clic sec et sonore raisonna dans la pièce entière et l'appel d'air qui était discret jusque là se fit de plus en plsu fort jusqu'à ce qu'il commence à aspirer nos deux jeunes gens. Une trappe s'ouvrit alors sous leurs deux corps, Edwin et Kaola s'agripèrent tant bien que mal au vieu bureau bien que l'inspiration dans ce trou noir et qui semblait sans fin, se faisait de plus en plus présente. Edwin tournant la tête vers Kaola s'aperçu que cette dernière commencait à glisser, ses ongles s'enfincaient dans le bois terne du vieu bureau laissant dernières eux des rainures à tout jamais graver, la jeune fille glisseait de plus en plus et Edwin ne savait que faire. Le jeune irlandais savait qu'il ne pourrait laissé tomber la jeune fille met il savait tout aussi bien que s'il tentait de la rattraper maintenant ils tomberaient tout les deux, que faire?

Edwin était en plein crise de conscience risquer sa vie et risquer de la perdre pour une jeune fille qu'il ne connaissait pas depuis plus de dix minutes ou la laisser dans ce pétrain, aprés tout peut être qu'elle sans sortira? Durant cette réflexion son regard se porter toujours sur la jeune inconnue, elle continuait à glisser n'étant à présent accrocher que par le bout des doigts sur le rebord du bureau, elle allait tomber tandis que ce vent continuait à les aspirer de plus en plus fort la jeune fille cèda et par réflexe et conscience du devoir envers autruit, Edwin tenta de la ratrapper.

En vain, lui aussi cèda et tout deux se retrouvère dans une sorte de tube, une sorte de toboggan aquatique sans eau, les deux corps s'entrechoquaient, Edwin tenta de ralentir sa chute en se collant à la paroi du tube. Ceci eut pour effet que le Maitrayien se retrouve à présent au dessus de la jeune fille, tandis que cette descente s'accentuait. En effet, le gros tuyau se mit à ploger jusqu'à obtenir une trajectoire quasiment verticale, la vitesse de la chute de nos deux jeune gens s'accentua mais celà semblait interminable pour ces deux dernières. L'effroi devant la mort se lisaient dans leurs yeux, quelle triste fin se disaient-ils, étrangement celà ne le faisaient pas crier, peut être qu'ils étaient tout deux si fier qu'ils ne voulaient pas montrer leur peur.

C'est alors que la chute s'arrêta soudainement et que nos deux jeunes aventuriers s'étalèrent l'un aprés l'autre sur une sorte de matelat à eau primitif. Ce dernier, bien que rustique était trés confortable, et Edwin n'avait pas vraiment l'intention de bouger aprés cette chute interminable. C'tait la première fois qu'il était sur un matelat à eau et il semblait apprécié l'effet que celà produisait.

"Il faut vraiment que je m'achète un truc comme..."commenca a t-il dire en souriant quand le matelat cèda et que nos deux compagnons furent tout deux trempé jusqu'au os. "Ca...' termina t-il en regardant Kaola. Cette dernière ne semblait pas appréciait ce fait, et se mit à raler aussitôt.

"Il existe des matelas en plume mais non il a fallu qu'il mette de l'eau celui là . Mais il se croyait où au cirque... " hurla t-elle de rage avant de se relever calement et de grommeler:

"Je suis calme ..."

Edwin regarda alors la jeune fille, il était d'une part stupéfait de voir à qu'elle point elle pouvait se remettre de cete chute aussi vite, c'est vrai, il est plutôt rare qu'une jeune fille soit aussi forte de caractère. Et d'autre part l'irlandais était étonné du comportement de cette dernière à son égard, il ne lui avait pas adresser la parole et celle semblait dialoguer avec quelqu'un, mais il n'y avait que lui de présent.

*Complètement givrer du cocotier la petite* se dit-il.

" On fait quoi ? " demanda t-elle à Edwin tout en se tournant vers lui, ce dernier la regarder toujours d'un air béa et ne sut quoi répondre.

Mais apparement de toute façon, la jeune fille semblait en avoir que cure de ce que le barman pouvait dire, sans attendre de réponse elle se mit à farfouiller dans une commode, toujours rustique, elle en ouvrit tout les tiroirs et regarda ce qui s'y trouver tandis que le jeune homme se releva et explora la pièce. Il s'agissait d'une grande pièce sombre et rectangulaire, ancienne, trés ancienne, le papier peint était d'un vert cramoisie parsemer de losanges jaune orangé délavés, usé par le temps et ayant subit les loi du temps et de l'humidité. Aucune fenêtre n'était visible ni de porte, par chance, Edwin n'était pas clostrophobe, le sol était recouvert d'une moquette grisatre également trés vielle, le temps avait égament agit sur elle, on pouvait le constater par l'usure de cette dernière. De vieux meubles, semblables à ceux de la maison remplissaient de peu la pièce. Celle ci semblait être une chambre, on appercevait une armoire, une armoire à glace surmontant un vieil évier en porcelaine, une commode, un bureau et enfin un lit sur lequel nos deux jeunes gens étaient arrivés.

"Je pense qu'on devrait cherché un moyen de sortir d'ici vite fait." finit-il enfin par répondre, puis se dirigea vers l'Yggdrasiloise celle ci lui jetta un serviette senteur lavande à la tronche qu'elle venait de trouver dans la commode.

"Merci." dit- Edwin.

"Dis voir, maintenant qu'on est vraiment dans la m***e tu veux bien me dire comment tu t'appels?" ajouta t-il.